Pour le garder au moins jusqu’en 2025, le PSG emploie tous les moyens pour convaincre Kylian Mbappé quitte à lui prévenir qu’il aura exactement avec Vinicius Jr, le même problème qu’il a eu avec Neymar Jr à Paris, à savoir le positionnement sur le terrain.
Plus le mercato hivernal approche, plus Kylian Mbappé a la main pour prendre la décision finale en ce qui concerne son futur. Pour le Paris Saint-Germain, c’est une sacrée contre-la-montre qui est engagée en cette fin d’année afin de ne pas voir un des meilleurs joueurs de l’histoire du club s’en aller gratuitement. Pour autant, le club de la capitale française ne compte pas se ridiculiser devant son n°7.
“Il est impossible de le payer plus”
Joueur le mieux payé de l’effectif parisien avec 72 millions d’euros par an, Kylian Mbappé ne serait pas contre une revalorisation salariale s’il faut qu’il signe un nouveau contrat. Mais AS nous apprend ce jeudi que le PSG ne veut qu’une seule chose de son attaquant de 24 ans : l’activation de l’option d’un an dans son contrat comme inscrite dans la clause au moment des discussions pour sa prolongation en 2022. Et cela n’implique en aucun cas une augmentation de salaire. “Il est impossible de le payer plus”, a soufflé une source au sein du club français au quotidien espagnol.
Par ailleurs, le Paris Saint-Germain brandit un autre argument un brain surprenant pour parvenir à son objectif qu’est de garder son joyau. Selon AS, les décideurs Parisiens ont fait comprendre à Mbappé que son positionnement préférentiel sur le terrain est déjà celui de Vini Jr au Real Madrid. Et donc il s’expose à une autre embrouille entre coéquipiers comme ce fut le cas avec Neymar auquel il n’a toujours pas fait d’adieu, depuis son départ pour Al-Hilal. “Tu vas dans un endroit où tu auras le même problème avec Vinicius”, lui a-t-on prévenu dans les hautes sphères du PSG.
Dans toutes ces tractations, le Real Madrid, conclut AS, reste serein et n’attendra que le bon moment avant d’agir sachant qu’il a assez d’options dont Erling Haaland pour remplacer le Bondynois. Si ce dernier veut être le nouveau leader de l’attaque, le mot d’ordre reste le même : il devra faire le premier pas.