Le mercredi 4 mai 2022, Manchester City se rendra en Espagne pour affronter le Real Madrid au Santiago Bernabeu pour le compte du match des demi-finales retour de la Ligue des Champions. Conscient de l’affluence qu’il y aura à Madrid, Ruben Dias insiste sur le fait que Manchester City n’est pas intimidé.
Ruben Dias et Man City se rendront à Bernabeu avec une avance d’un but d’écart. La victoire 4-3 au match aller permet aux Citizens de gagner une mince option sur les Madrilènes. L’écart d’un seul but ne veut encore rien signifier pour le Real Madrid surtout avec Karim Benzema qui est capable de faire un triplé pour éliminer le Man City. De plus, à domicile, les poulains d’Ancelotti sont difficiles à battre. Les Ultras madrilènes sont impressionnants avec un soutien indéfectible qui peut démoraliser les adversaires. Conscient de la situation, Ruben Dias a expliqué qu’ils ne lâcheront rien.
« Nous sommes conscients de l’équipe à laquelle nous sommes confrontés, de l’impact qu’ils ont en Ligue des champions et de l’ambiance au Santiago Bernabeu. Mais nous connaissons notre objectif, et ce, dont nous avons besoin pour l’atteindre. Nous allons jouer avec notre personnalité et essayer de gagner. Le Bernabeu est un endroit fou, mais Man City est aussi une équipe folle. Nous serons prêts pour cela », a-t-il déclaré aux journalistes après la victoire de mardi.
« Une demi-finale et avec le match retour à Madrid, le match n’allait jamais se terminer [après le match aller]. Peu importe ce qui se passerait, ce ne serait jamais terminé ici dans ce match aller. Nous savons exactement ce qui s’en vient et nous sommes prêts pour cela. Je pense qu’avec les occasions que nous avons créées, nous pensons que le résultat aurait pu être plus favorable pour nous. Mais au bout du compte, nous avons gagné », a-t-il ajouté.
Ruben Dias poursuit en indiquant que « c’est une finale gagnée et nous devons gagner la deuxième la semaine prochaine à Madrid. L’esprit est positif. Nous aurions pu marquer plus, nous aurions pu encaisser moins de buts, mais nous n’avons pas eu le temps d’y réfléchir ».