Actuellement au Brésil, Rodrygo Goes profite de ses vacances en se reposant sur sur les plages de son pays natal. Un repos bien mérité pour l’attaquant de 21 ans qui a été très utile pour le Real Madrid à des moments clés de la saison 2021-2022 surtout en Ligue des champions.
Au cours d’un entretien avec AS, Rodrygo a fait le bilan de sa saison. Rodrygo a été décisif à un moment où on donnait le Real Madrid pour perdant en Ligue des Champions. Avec Karim Benzema, Rodrygo a été l’un des sauveurs des Merengue lors des phases à élimination directe. C’est le cas lors des matchs retours contre Chelsea en quart de finale et Manchester City en demi-finale.
“Cela a été une saison de rêve pour moi individuellement, mais encore plus pour l’équipe. L’équipe a montré une fois de plus que Madrid est le meilleur club du monde, sur et en dehors du terrain, avec le meilleur entraîneur possible et une équipe merveilleuse. C’est la saison parfaite”, a-t-il déclaré avec un sentiment de fierté pour le triplé réalisé (Ligue des champions, Liga et Supercoupe d’Espagne).
Un travail individuel, c’est ça la clé de réussite
Le natif d’Osasco a révélé aussi au cours de cet entretien la clé de son succès mais aussi l’aspect qu’il doit améliorer pour la saison prochaine. En 108 matchs avec la Casablanca, depuis son arrivée pour 45 millions d’euros en 2019 en provenance de Santos, Rodrygo a inscrit 18 buts et délivré 18 passes décisives. C’est sa saison la plus prolifique devant les buts, mais ce qui est curieux, c’est que sur ses neuf buts, cinq ont été inscrits en Ligue des champions (seulement quatre en Liga) indique AS. “Je sais que je peux marquer beaucoup plus de buts”, a laissé entendre le joueur.
“Cette année, je savais que c’était la clé pour moi et depuis janvier, j’ai planifié un programme de travail en harmonie avec le club, avec lequel nous avons atteint les objectifs que nous avions fixés”. Le quotidien Espagnol révèle que Rodrygo a engagé un entraîneur personnel et depuis janvier. Il a deux heures de travail individuel à son domicile à Madrid, en plus du travail quotidien à Valdebebas sous les ordres d’Antonio Pintus.