Jude Bellingham, devenu malgré lui, l’icône du Real Madrid. Et pourtant, tout n’était pas rose dès son arrivée. Le joueur anglais a dû braver certaines difficultés avant d’en être où il est actuellement.
Au Real Madrid, on voit un Jude Bellingham épanouit largement mieux que lorsqu’il était au Borussia Dortmund. Il a une certaine joie de vivre qui le permet d’être à la hauteur des attentes et dans le dépassement de fonction. D’ailleurs, si la saison s’arrêter au moment où ces lignes sont écrites, nul doute qu’il serait sacré meilleur joueur du monde. Et, ce ne sont pas ses statistiques qui vont dire le contraire, pour un milieu de terrain. 20 buts et 9 passes décisives en 31 matchs, c’est du lourd. Aussi, il espère que cela le permettra de connaître une saison pleine. «Je veux pouvoir offrir des titres à mon pays et à mon équipe, le Real Madrid», prévient-il à Sky Sports.
Jude Bellingham a aussi fait savoir qu’il vivait un grand rêve au moment sa carrière est en train de prendre de l’envol. «Je veux que les fans se sentent comme si j’étais un autre fan qui joue et les représente, parce qu’en fin de compte, c’est de cela qu’il s’agit. Leur soutien compte beaucoup pour nous, bien plus qu’ils ne le pensent. Quand le pays est positif, les joueurs sont positifs et les supporters sont positifs, l’équipe jouera mieux», poursuit celui qui se croit parfois dans un rêve éveillé. «Je dois me pincer quand je joue avec l’Angleterre à Wembley ou avec Madrid au Bernabéu. Je n’ai jamais rêvé de quelque chose comme ça si tôt», a-t-il ainsi admis dans son entretien avec le quotidien anglais.
Bellingham, une adaptation difficile !
Même s’il performe sur les pelouses, il faut admettre que, l’adaptation de Jude Bellingham sous les couleurs de la maison blanche n’a pas été fameuse. «Cela a été très, très difficile. Ce fut aussi très amusant de s’adapter à la vie en Espagne et d’avoir de plus grandes responsabilités avec Madrid et l’équipe nationale. J’essaie de l’assimiler, de profiter de l’expérience, de m’améliorer et de grandir», lâche-t-il donc dans un sourire aussi désarmant que sincère.