Le PSG ne rassure pas tous les observateurs avant son match très important de la Ligue des Champions contre le FC Barcelone. Parmi les observateurs inquiets, Daniel Riolo pointe en tête d’affiche. L’éditorialiste francais a fait part de ses inquiétudes avant ce choc qui s’annonce.
Le PSG vit une saison plutôt correct en terme de résultats acquis depuis le début de la saison. Les Parisiens sont en effet leaders de Ligue 1 et viennent de se qualifier pour la finale de la Coupe de France. Aussi, ils affronteront la semaine prochaine, le Barça. Et ce, en quart de finale de la Ligue des Champions. Une rencontre qui suscite l’interrogation vis à vis de la formation parisienne. En clair, si elle fait de bons résultats, le contenu de jeu laisse à désirer. C’est-à-dire là où Daniel Riolo pointe du doigt ce manquement et craint le choc en Ligue des Champions. Au lendemain de la qualification en finale de la Coupe de France contre l’Olympique Lyonnais, l’éditorialiste francais a chargé l’équipe parisienne.
Daniel Riolo en colère contre Luis Enrique
Daniel Riolo a commencé que : «Il y a eu ce premier quart d’heure que j’ai trouvé très intéressant avec beaucoup de mouvements. Et moi qui ne comprends rien à la tactique, à ‘Géo Trouvetou’, je me suis pris en pleine face les mouvements permanents, les positions folles des joueurs. Je prends une vraie leçon de football. Je pars dans l’idée d’être hyper positif en disant, là c’est vraiment intéressant parce qu’on s’attend à ce que ce soit Lee qui fasse le 4e milieu de terrain mais c’est Hakimi».
Et d’enchaîner que : «Après, il étale une attaque en ligne de quatre, ils ne sont plus que deux derrière. Pendant un quart d’heure, je suis à tellement me casser la tête à essayer de comprendre que je suis allé chercher des Doliprane. J’ai pris deux Doliprane pour me calmer un peu. Et puis, je me suis dit : à quoi sert tout ça ? Qu’est-ce que ça donne de plus au PSG de faire ce grand cocktail».
Puis de s’indigner contre le repositionnement tactique de certains joueurs. «Avec Hakimi et Dembélé, le côté droit a été un point fort mais c’est terminé nous ne l’avons plus, ça n’existe plus. Il n’en veut plus, comme si c’était trop bien, qu’il ne fallait plus le voir. Hakimi est moins bien et il ne veut plus Dembélé à droite, il le met dans l’axe», a ensuite poursuivi Daniel Riolo.