Il y a de quoi pour donner du sourire à Daniel Alves qui se trouve derrière les barreaux. La justice espagnole a donné raison à l’international brésilien dans son litige avec le fisc.
En détention provisoire depuis près d’un an, alors qu’il attend son procès dans l’affaire où il est accusé d’avoir agressé sexuellement une jeune femme de 23 ans dans une boîte de nuit le 31 décembre 2022, Dani Alves avait une raison de sourire ce jeudi. Selon Desporto AO Minuto qui cite l’agence de presse espagnole EFE, l’Audience nationale a donné raison à l’ancien joueur du FC Séville, du FC Barcelone, de la Juventus ou encore du Paris Saint-Germain dans le litige qui l’oppose au ministère des Finances.
L’administration fiscale devait restituer 3,2 millions d’euros au joueur dans le cadre d’une affaire dans laquelle elle l’accusait d’avoir mal déclaré des revenus provenant de l’exploitation de droits d’image lors de son premier passage au FC Barcelone, entre 2008 et 2016. Pour rappel, le latéral droit a commencé à faire l’objet d’une enquête en 2014 pour des soupçons d’irrégularités, le fisc estimant que les avantages qu’il obtenait devaient être imposés comme des revenus du capital, ce qui n’était pas le cas.