Roberto Mancini n’est plus à la tête de l’équipe nationale d’Italie. Parmi les candidats potentiels pour le remplacer figure notamment Luciano Spalletti. Cependant, suite à son départ de Naples la saison écoulée, Spalletti l’un des artisans du Scudetto remporté par Napoli après 30 ans de disette, a inclus une clause dans son contrat.
Cette clause rend inéligible Spalletti pour un engagement avec une équipe avant une année, sous peine de devoir verser une somme d’argent.
« La clause lie Naples et Spalletti, personne d’autre. Il n’est donc pas interdit qu’un club ou une fédération, intéressés par l’embauche de l’entraîneur, puissent se subroger à l’entraîneur, en payant le montant. Spalletti est maître de son destin. S’il rejoint un club plutôt qu’une fédération, cette somme est due. La clause était destinée à dédommager Naples si Spalletti ne tenait pas sa promesse de rester un an, dans la perspective d’un club rival. Personne, conclut-il, n’a pensé à une fédération. Et la FIGC n’a jamais payé un club pour un entraîneur. C’est l’obstacle politique à franchir », a déclaré Mattia Grassini, avocat de Naples cité par Calciomio.
Pendant ce temps, Mancini quant à lui se rapproche de l’Arabie Saoudite. L’ancien entraîneur de Manchester City pourrait rejoindre la vague d’entraîneurs et joueurs qui veulent découvrir la Pro League Saoudienne.