Est-ce que Neymar regrette d’avoir quitter le PSG ? La réponse est oui à en croire les révélations du vétéran défenseur de Chelsea et partenaire de la star d’Al Hilal en sélection, Thiago Silva, qui vient d’accorder une interview croustillante à la presse anglaise où il revient surtout sur son passage en France.
Le Paris Saint Germain a connu un été hyper mouvementé cette saison. Si Christophe Galtier a été remercié après les départs de Lionel Messi, Sergio Ramos et d’autres indésirables, c’est à Luis Enrique que les clés du club ont été confiés. Et, il a demandé tout de suite, les départs de Marco Verratti et Neymar Jr, qui ne rentrent pas dans ses petits papiers. Le dernier cité a ainsi trouvé refuge en Saudi Pro League dans le club d’Al Hilal. Et si une blessure est venue mettre fin à son adaptation, le joueur aurait aimer rester en France. C’est en tout cas la révélation faite par Thiago Silva.
Dans une interview accordée à The Guardian, il a fait savoir que : « Mon rêve, comme Neymar, Marquinhos et Verratti, c’était de gagner la Ligue des champions, je peux vous l’affirmer. Marquinhos a encore des chances, mais avec le PSG, c’est fini pour nous. Neymar aurait certainement aimé rester. Gagner la Ligue des champions était son rêve ». Une déclaration forte qui prouve quand même le grand défi que s’était lancé le meilleur buteur de la sélection brésilienne. Il a poursuivi qu’il y a eu une pression qui est devenue néfaste pour la Ligue des champions au PSG.
Le PSG et la pression de la C1
Le défenseur vétéran de Chelsea a ensuite fait savoir que : « Ça m’a fait mal parce que j’ai vu la situation changer et la pression augmenter pour la gagner, mais n’est pas comme ça qu’on gagne. Ce n’est pas un investissement. C’est une question de régularité, année après année. Nous avons joué la Ligue des champions et nous n’avons pas gagné, mais ça n’aurait pas dû nous empêcher d’avancer. Un échec vous permet de progresser normalement : on fait un pas en arrière puis deux en avant. Mais n’était pas comme ça au PSG : on faisait un pas en avant, puis trois en arrière. C’était vraiment très difficile. La pression était trop forte. »