Le 7 octobre, date des demi-finales de la Ligue des Nations, la Belgique et la France se rencontreront pour une place en finale (20h45). Une affiche qui suscite déjà beaucoup d’intérêt. A Turin, les Diables rouges affronteront donc les Bleus pour une nouvelle version de la demi-finale de Coupe du monde 2018 remportée par les hommes de Didier Deschamps (1-0).
Présent en conférence de presse ce samedi, le sélectionneur belge, Roberto Martínez, attend lui aussi ce choc avec la plus grande impatience. Un « grand défi » qu’il ne veut pas aborder avec cet esprit de « revanche » par rapport à la défaite concédée lors de la dernière Coupe du monde.
« Nous attendons ce match avec impatience, car nous affronterons le champion du monde en Russie, en France. C’est une équipe qui va nous rendre la tâche très difficile. Pour nous, ce n’est pas une revanche, nous voulons continuer à nous améliorer. Nous voulons atteindre la finale. Nous devrons tirer le meilleur parti de cette superbe affiche. (…) C’est un grand défi pour nous », a déclaré Martínez.
« La France est le dernier adversaire contre lequel nous n’avons pas pu marquer. Nous sommes une équipe qui reçoit des éloges pour son jeu offensif », a-t-il expliqué.
Enfin, au-delà de l’aspect offensif, Martínez est également conscient que la qualité des attaquants français va rendre le jeu un peu plus compliqué.
« Il faudra trouver le bon équilibre et bien défendre en équipe, car la France a des individualités exceptionnelles », bref, tout un défi.