Noël Le Graët ne se contente pas uniquement de diriger les activités de la Fédération Française de Football (FFF). Il cherche aussi à satisfaire sa libido visiblement gourmande. Le côté vicieux et obscur du Breton de 80 ans vient d’être dévoilé au grand jour par SoFoot dans un article qui est le résultat d’une enquête minutieuse.
Dans cet article avec des révélations aussi choquantes les unes que les autres, le média français a recueilli plusieurs témoignages des employées de la Fédération Française de Football. Et toutes sont unanimes sur le comportement du boss au sein de la Fédé : «C’est bien simple, il saute sur tout ce qui bouge», a résumé une d’entre elle. Mais ce n’est pas tout.
“Tout le monde est au courant” de ce que fait Noël Le Graët
Si ces révélations sur le patron de la FFF sont très surprenantes voire graves, elles le sont encore plus lorsqu’une témoin affirme que «Tout le monde est au courant, cela fait 10 ans que ça dure» mais que rien ne change. Face au harcèlement de Noël Le Graët, devenu prédateur sexuel à la Fédé avec des SMS du genre «Venez dîner chez moi ce soir», «Je préfère les blondes, donc si ça vous dit…» ou encore «Vous êtes drôlement bien roulée, je vous mettrais bien dans mon lit.» “plusieurs femmes ont fini par démissionner”, poursuit cette témoin.
Tensions aussi au sein de l’équipe de France
Par ailleurs, SoFoot a aussi cité une phrase connue de tous et qui est souvent prononcée par le directeur de Clairefontaine, QG de l’équipe de France : «C’est normal qu’il y ait autant de tension entre nous, puisque rien n’intéresse les gens à part le sexe, le pouvoir et l’argent.»
Celui qui est cité dans l’encadrement de l’équipe de France n’est autre que l’intendant Bachir Nehar, un ami de Didier Deschamps. Opéré à la rétine avant l’Euro, ce dernier n’a pas été remplacé face à l’insistance des Bleus et a été déplacé en camping-car jusqu’à Budapest, en Hongrie. C’est donc le chauffeur de bus de l’équipe de France qui a joué ce rôle durant l’Euro. Ce qui n’a pas plu à Guy Stéphan qui a haussé le ton. Sauf qu’il s’est heurté à un Deschamps qui a pris la défense de son ami.
Des révélations accablantes qui expliquent la raison derrière l’Euro catastrophique des Bleus, éliminés en huitièmes de finale par la Suisse aux tirs au but (5-4) après un 3-3 au bout des prolongations que l’on ne digère toujours pas.