Caroline Lujnen, l’ex-petite amie de Kevin de Bruyne a expliqué comment l’infidélité du milieu de terrain belge lui a poussé dans les bras de…Thibaut Courtois en 2012 au nom de la vengeance.
« Kevin m’a trompé », a confié Caroline Lijnen à Story Magazine en 2014.
« Je n’ai rien dit pendant des mois parce que je ne pouvais rien dire, car les parents de Kevin ont dit qu’ils engageraient une action en justice si je racontais mon histoire J’étais sous pression et je ne pouvais pas avoir de contact avec Kevin.
« J’ai tout respecté. Mais dans son livre Keep it Simple, Kevin a écrit un passage sur ma liaison avec Thibaut. Alors, j’ai décidé de ne plus garder le silence »
“Lors de l’été 2012, j’ai appris que Kevin avait eu une liaison avec ma meilleure amie, confie Caroline Linjen. Je lui ai demandé de choisir entre elle et moi, car je voulais lui donner une nouvelle chance. Nous avons poursuivi notre relation, mais rien n’a plus été comme avant”.
“Kevin trouvait que ce voyage était une bonne idée. Je lui avais d’abord demandé s’il était d’accord. Là, il s’est passé quelque chose qui n’aurait pas dû se produire, je l’admets. Mais les choses n’allaient plus vraiment bien entre Kevin et moi et, j’ai trouvé du réconfort auprès de Thibaut”.
“Ce soir-là, il m’a plus offert que Kevin en 3 ans. Avec Thibaut, je pouvais avoir des discussions intéressantes et il m’a cuisiné un repas délicieux. Kevin n’avait jamais fait une chose pareille. Et puis, il s’est passé ce qu’il s’est passé. À ce moment-là, je me suis rappelée que Kevin m’avait trompée et je me suis dit : pourquoi ne ferais-je pas la même chose? Ensuite, Thibaut et moi ne nous sommes plus jamais parlés”, a t-elle raconté.
Kevin de Bruyne fair-play avec Courtois
Lorsqu’il a appris cette histoire improbable, Marc Wilmots, alors sélectionneur des Diables rouges de la Belgique a demandé à Kevin de Bruyne s’il faut écarter Courtois de la sélection, mais ce dernier a répondu par la négative.
« Bien que je ne puisse toujours pas croire ce que Courtois a fait, nous continuons à travailler ensemble professionnellement », écrit-il dans son autobiographie.
« L’entraîneur m’a demandé s’il devait quitter l’équipe. Je ne pense pas avoir le droit de dire qu’il ne peut plus jouer pour l’équipe nationale parce qu’il a fait quelque chose de mal. Bien sûr, il reste un bon gardien. Alors j’ai dit qu’il pourrait rester. »