Ronald Araujo tient les supporters en haleine. Le défenseur uruguayen a été victime d’une avulsion du tendon de l’adducteur de la cuisse droite vendredi dernier avec la sélection uruguayenne et pourrait être absent pendant de nombreuses semaines. Il reste à savoir combien de semaines il manquera et combien de matchs avec le Barça. Et à la question de savoir si le défenseur central sera opéré ou non, la décision finale sera prise ce lundi.
Le club sait déjà qu’il sera absent pour au moins six à huit semaines. Et le fait est que tout cela n’est pas encore connu. En effet, on en saura un peu demain, lundi selon Mundo Deportivo, lorsqu’un sommet médical sera programmé auquel le joueur participera et au cours duquel une décision devrait être prise sur le traitement qui lui sera appliqué.
En principe, on pensait qu’il s’agissait du dimanche, mais finalement, Araujo a bénéficié de quelques heures supplémentaires car l’évaluation est plus précise. Par ailleurs, l’avulsion dont a été victime Araujo est un synonyme de déchirure, ce qui implique que la blessure est importante.
Ce pépin peut être traité de manière conservatrice ou par une opération. L’option de la chirurgie est toujours fiable mais dans ce cas, il y a un facteur à prendre en compte : la proximité de la Coupe du monde au Qatar, qui débute le 20 novembre.
Des sources proches du joueur affirment qu’une décision doit être prise et que tout est ouvert, mais qu’il est nécessaire d’attendre un certain temps pour que l’inflammation dans la zone blessée diminue. Comme déjà mentionné, il a été décidé de reporter la blessure de quelques heures supplémentaires afin d’analyser plus clairement la zone affectée par la déchirure. Par conséquent, après s’être blessé vendredi, ce sera demain après-midi, lundi, que Araujo rencontrera les médecins du club pour discuter de sa blessure.
Les traitements conservateurs, en théorie, sont plus rapides mais pas aussi fiables que la chirurgie. En outre, comme on l’a vu dans le cas d’Ansu Fati, le traitement sans chirurgie et, dans ce cas, le traitement conservateur ne garantit pas un retour plus rapide à la pleine forme que s’il y avait eu une opération.