L’on se souvient encore du type de joueur qu’était Andrea Pirlo. Un joueur d’une élégance rare, tant sur le rectangle vert que dans ses sorties médiatiques.
Auteur d’une carrière couronnée de succès, aussi bien en club qu’en sélection nationale, Pirlo a laissé des empruntes lors de son passage dans les clubs qui l’on accueilli et aussi surtout, il a marqué une période glorieuse du foot italien.
En effet, acteur majeur dans le sacre de la formation italienne lors de la coupe du monde 2006, Andrea Pirlo avait réalisé une compétition dantesque. D’ailleurs, il a raconté une anecdote relative à la finale :
« Je ne ressens pas de pression, je n’y pense pas. Le 9 juillet 2006, jour de la finale, j’ai passé l’après-midi à Berlin à faire la sieste et à jouer à la Playstation. Le soir je suis sorti et j’ai gagné la Coupe du Monde. »déclare-t’il fièrement.
Cette révélation témoigne de la sérénité qui régit un joueur de la trempe de Pirlo.
Milieu de terrain emblématique de l’AC Milan et de la Juventus, il s’est reconverti en entraîneur après sa carrière avec notamment un passage compliqué à la tête de la Vieille Dame. Toutefois, cela n’enlève rien au footballeur unique qu’il fut et surtout au grand entraîneur qu’il pourrait devenir.