Au PSG, la quiétude ne règne jamais assez longtemps. Alors que le club de la capitale était récemment au centre des préoccupations sur le plan sportif suite à ses performances en Ligue des Champions, une nouvelle affaire extra sportive vient secouer de nouveau le club, maintenant au centre le président, Nasser Al-Khelaïfi.
L’homme fort du Paris Saint-Germain est encore au centre de l’attention. En effet, le journal Le Parisien publie un témoignage d’une ancienne assistante de Nasser Al-Khelaïfi, le président du Paris Saint-Germain. Dans ce dernier, l’ancienne assistante décrit son burnout et son licenciement de la part du club, où elle décrit notamment les conditions de travail difficiles dans lesquelles elle exerçait son métier. Mais, le club de la capitale n’a pas tardé à réagi à travers une source proche de l’écurie Française.
« Il s’agit clairement d’une tentative de chantage. L’employée se présente comme une confidente de Nasser Al-Khelaïfi, au cœur du PSG, alors qu’elle était l’assistante d’autres personnes. C’était une employée de beIN et elle a passé les deux dernières années à essayer ouvertement de faire chanter l’entreprise et sa direction. Après s’être vu offrir des congés illimités pendant de nombreuses années, de nouveaux et meilleurs postes, et tout le soutien nécessaire en tant qu’employée, elle a pensé qu’elle pouvait extorquer des millions à l’entreprise », explique la source en question dans des propos rapportés par RMC Sport, avant d’en dire un peu plus sur ce chantage : « Maintenant que le procès contre elle approche, ayant échoué dans son extorsion et son chantage, elle essaie d’embarrasser l’entreprise via les médias. Rien de tout cela ne fonctionnera« , martèle t’elle.
La source poursuit que : « La cour de justice n’écoute pas les manipulations médiatiques, et se prononce très clairement sur les questions de chantage. Elle a exigé un million d’euros ou a menacé d’aller dans les médias. Nous lui avons dit: ‘On se verra au tribunal’. La semaine dernière, elle a essayé de trouver un accord, puis a exigé 120.000 euros. C’est drôle comme sa demande a baissé. Nous avons dit non à nouveau, et nous serons heureux de la voir au tribunal« . De quoi agiter encore une fois la vie interne du club.